secrets de masseuses

LE PLAISIR DES YEUX DE MYLÉNA


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Il y a ces hommes dont on sent la sensualité dans un rayon de plusieurs mètres autour d’eux. Vous voyez de quel genre d’homme je parle ? Antoine fait partie de cette gamme d’hommes, à l’aura électrisante, et dont le regard, lorsqu’il se pose sur vous, vous promet des moments intenses. Lorsque je l’accueille dans la salle de massage, les lumières tamisées me laissent quand même découvrir un grand corps, encore enveloppé dans un peignoir, dont on devine la carrure musculeuse, et un visage aux traits carrés, mais à l’expression douce.

– Bonjour, Antoine. Je m’appelle Olivia, et mon objectif sera, pendant une heure, de vous faire découvrir les plaisirs des yeux.
Le grand brun pose un regard bienveillant sur mon corps déjà à demi-nu – seule une serviette autour de mes hanches cache le reste de mon anatomie..
– Le plaisir des yeux commence dès les premières minutes, si je comprends bien, dit-il en enlevant son peignoir, ses rétines brillantes toujours posées sur moi.

Je le sens se laisser aller tandis que j’insiste sur les muscles endoloris de son fessier galbé…

Je retire moi-même la serviette qui m’entoure la taille, et l’invite à s’installer sur la table de massage. Lorsqu’il s’allonge sur le dos, je prends conscience de la tâche à accomplir : ces muscles bandés, des fesses rebondies aux larges épaules, il me va falloir les détendre pour enchanter l’esprit d’Antoine. Les mains enduites d’huile, je me pose à genoux sur le futon et, à califourchon au-dessus de son dos, commence à déceler les tensions dans le haut de son dos.
– Décontractez-vous Antoine, je vous sens très tendu.
– Déformation professionnelle. Mon métier m’a appris à toujours rester sur mes gardes.
Tout en massant ses omoplates, et ondulant mes cuisses contre son fessier, je l’interroge :
– Ah oui ? Vous êtes gendarme ?
– Pas loin. Militaire, depuis peu à la retraite.
Je descends lentement mes mains le long de son torse, pour frictionner avec vigueur ses hanches et le bas de son dos.
– Raison de plus pour vous détendre, alors.

Je le sens se laisser aller tandis que j’insiste sur les muscles endoloris de son fessier galbé, désormais à califourchon à l’envers sur lui, mes propres fesses appuyées sur ses épaules. Je le rassure :
– À tout moment, si vous souhaitez inverser les rôles, ou bien changer d’endroit à masser, faites-le moi savoir. Je suis au service de votre bien-être, chef.
Il rit doucement, et mes hanches sont secouées par le mouvement de son dos. Un mouvement qui enflamme mon propre corps. Il me dit :
– J’avoue ne pas vraiment profiter de votre beauté, dans cette position.

…ces cuisses puissantes, dont on sent qu’elles ont parcouru des kilomètres au pas de course.

Je me retire du futon, et il se retourne. Désormais sur le dos, je constate que la sensualité de mes gestes l’a détendu… mais pas à tous les endroits du corps. Je ne peux m’empêcher une remarque coquine :
– Toujours au garde-à-vous, colonel, n’est-ce pas ?
Il rit de nouveau, en observant mon corps, lui-même bandé de mille muscles aux aguets. Si j’avais su que ce job de masseuse me ferait un tel effet…
Me penchant vers ses jambes, je lui masse désormais les cuisses, ces cuisses puissantes, dont on sent qu’elles ont parcouru des kilomètres au pas de course. Je sens sur ma croupe tendue la chaleur de son regard qui se délecte de mes formes, toutes offertes à lui pour ce moment qui n’appartient qu’à nous. La douce musique en fond sonore guide mes gestes, tandis que je passe mes mains le long de ses mollets, puis remonte vers ses cuisses, m’attarde sur son aine, ses hanches, son ventre.

Lorsque j’approche mes mains de ses pieds, ma poitrine tout contre son entre-jambe, il a un sursaut, et m’arrête :
– Non, je suis très sensible des pieds. Trop sensible.
– Pas de souci. Vous préférez peut-être me masser moi, désormais ?
– Avec plaisir, me répond-il, avec un sourire qui laisse deviner son intention.
Il m’aide à m’installer sur la table, allongée sur le dos, et passe quelques instants son regard de mon visage à mes pieds, scannant tour à tour mes joues rougies par la sensualité de l’instant, ma poitrine tendue vers le plafond, mes cuisses à moitié écartées, laissant deviner mon intimité troublée.
– Vous savez, Myléna, j’ai été habitué à donner des ordres, mais je n’aime pas moins pour autant satisfaire ceux des autres. Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ?
Quel homme charmant. Je lui fais signe de la main que mes jambes sont engourdies par ces quelques minutes passées à califourchon au-dessus de lui. Il s’asperge les mains d’huile, et commence alors à me les masser. Parfois, ses mains s’égarent un peu trop haut, et je sens ses doigts si près de cette chaleur qui me prend aux hanches… Mais tout de suite, il se reprend, redescend le long de ma jambe, pour s’attaquer à mes mollets contractés. Je sens mes tensions retomber, et me laisse aller aux délices de ce massage, à la fermeté de ces mains puissantes à la peau un peu rugueuse, mais aux gestes tellement doux. En remontant vers mon ventre, il fait passer son souffle chaud sur mon aine, puis sur mes hanches. Je m’abandonne, et ne remarque presque plus le temps qui passe. Sa respiration est courte, et rythme les caresses de ses mains.

Enfin, il s’arrête, et je rouvre mes yeux sur un homme épanoui, au large sourire.
– Je crois qu’il est l’heure de nous quitter, Myléna.
Je me relève, consulte l’heure : oh oui, effectivement ! Il va me falloir apprendre à respecter les horaires pour devenir une masseuse aguerrie.
– Antoine, j’ai passé un moment somptueux, et j’espère que vous aussi.
– Oh oui. Quel plaisir d’observer et de sentir votre corps, sans jamais me laisser aller aux envies qui me viennent à l’esprit…
Il désigne d’un moment de tête son entre-jambe, qu’il cache de nouveau sous son peignoir. Je souris doucement en renouant ma serviette autour de moi. Il ajoute, d’une voix rocailleuse :
– Plaisir des yeux, certes, mais qui se répand dans le corps, hein ?
– Oui, chef !
Nous rions une dernière fois, avant de se saluer, lui me promettant de revenir très vite. Ah, que de souvenirs intenses…

Myléna